IN MY HEAD
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Akmar il est gentil, il aime aider, se dévouer et parfois se laisser marcher sur les pieds. Akmar il est loyal, comme un labrador. Il serait prêt à tout pour ses proches, un peu trop. — « Engage-toi mon trésor, tu nous rendras fier Akmar » « Tu aideras à protéger tes sœurs Akmar » quelques mots lancés dans le salon familial — et voilà qu’il s’engage le lendemain. Akmar c’est un rêveur, qui ne pense pas à son propre bonheur. Il voulait faire des études historiques ou littéraires. Il voulait fouiller dans le passé — son passé. À la place, le voilà bien armé en train de surveiller les bidons ville de la cité. Ces mêmes bidons ville où il a été élevé, où il a grandi, qu’il a maintenant quitté pour partir habiter dans un petit appartement mieux situé où il recueille des reliques d’un autre temps. Il n’est qu’un surveillant glorifié ; il a l’entrainement et les cicatrices et pourtant il n’est pas vraiment un soldat. Il n’en a jamais rêvé, mais il s’était pris à imaginer sa vie, habillé de cet uniforme trop serré.
Il a cru pouvoir être heureux.

Akmar ne sert pas sa cité.
Akmar sert sa famille — il essaye de garantir leur sécurité.

Akmar n’est pas timide per se — ayant trois sœurs et deux frères. C’est juste qu’il est réservé. Il n’aime pas vraiment converser, sourire pour ne rien dire. Sans être inadapté socialement, il préfère de loin les soirées en famille aux jeux grivois dans les baraques de l’armée. Akmar est cet homme un peu trop maigre qui sourit en demi-teinte lorsqu’on essaye de le faire parler. Il répond par quelques onomatopées, un dodelinement de la tête avant d’essayer de s’échapper. Son sourire se fait nerveux, un tic apparaît au coin de ses yeux alors qu’une main se pose sur son épaule. Il évite le contact discrètement, ses lèvres se plissent légèrement. Akmar n’aime pas le contact des autres. Sa peau fourmille à l’idée qu’un inconnu puisse le toucher — il retient une grimace de dégoût. Akmar n’est pas aussi méfiant tout le temps, parfois ses sourires se font plus francs, ses épaules se détendent alors qu’il aperçoit un ami au coin de la rue.
Akmar parle peu — ses paroles sont précieuses, ses vrais sourires d’autant plus.

Akmar fuit le contact.
Akmar évite les conflits — qu’ils soient physiques ou verbaux. Parfois on le traite de lâche (couard) mais il préfère s’enfuir avant d’exploser. Akmar est cet être aimable, parfois souriant qui prend toujours sur lui — un tic nerveux au coin des yeux. Akmar est bon, il est gentil et il est parfois franc, trop franc. Lorsque ses yeux se plissent, qu’il mordille sa lèvre inférieure, on peut sentir la tempête arriver — l’atmosphère se remplir d’ozone. Il n’éclate pas comme une tempête ou un ouragan hurlant, ses paroles se font assassines, tel une lame acérée. La houle ne monte que pour quelques instants — le temps de remettre à sa place quelqu’un d’arrogant. Akmar au fond, est bon, il est gentil. Akmar est même un peu idéaliste, il se met à rêver d’un passé idéalisé — oubliés bombes et carnages. Il se met à danser en écoutant un vinyle des Pink Floyd un peu abimé, relire cette copie usée de Sinouhé et s’imaginer dans ce monde passé.

Outre la moitié de son salaire envoyé à sa famille, l’autre partie utilisée pour payer le loyer, Akmar essaye de se faire plaisir, allant de temps en temps dépenser dans les boutiques d’antiquités. Une babiole colorée pour sa mère, un roman ancien pour son frère, parfois — quand la chance lui sourit, il trouve une carte postale d’un autre temps qu’il offre à sa sœur cadette. Rarement, il découvre une petite merveille — pas grand chose — digne de figurer dans sa petite collection. Akmar est comme un enfant, les yeux brillant d’émerveillement devant une nouvelle trouvaille. Akmar est curieux — terriblement curieux. Pas envers les gens, mais plutôt envers ce qui existait avant. Il se montre parfois distrait, pas souvent, mais la balafre sur sa cuisse est encore là pour lui rappeler de se concentrer sur l’instant présent.

Akmar est bon.
Akmar il est gentil.
Akmar il aime donner et pas forcément recevoir. Akmar est généreux, pas qu’un peu, mais uniquement auprès de quelques élus. Akmar réserve ses sourires aux proches — aux amis et aux initiés. Akmar n’aime pas partager avec ceux qui ne l’ont pas mérité.

Mérite [me.ʁit] — ce qui rend une personne digne d’estime

Akmar se permet de juger qui sera digne de son intérêt, de ses sourires, de sa générosité. Akmar est possessif, il garde certaines denrées pour ceux qui, à ses yeux, les méritent vraiment. Il est férocement protecteur de ceux qu’il considère comme « sien ». C’est peut-être pour cela qu’il n’a pas tant rechigné pour entrer dans l’armée quand son père l’a proposé. « Tu aideras à protéger tes sœurs » étant la phrase clé. Celle qui a tout déclenché. Akmar est d’un naturel plutôt passif — toujours dans l’esquive — jusqu’à ce qu’on menace ce qui lui est cher. Akmar n’est pas un Ramsès des temps modernes — il n’est pas un leader né, il se contente de suivre les ordres aboyés par ses supérieurs. Il se contente d’obéir aux directives de son père bien aimé. Akmar est nerveux — voire névrosé par certain aspects — mais toujours respectueux de la hiérarchie familiale. Il doit tellement de chose à son père, il n’oserait pas aller à l’encontre de ses décisions. Et après tout, father knows best.

I LOOK LIKE...
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TAILLE : 1m79 ; POIDS : 69 kg ; PEAU : magrhébine ; YEUX : bleus-gris, vert d’eau ; CHEVEUX : bouclés, bruns foncés ; ALLURE : droit, un peu maigre, joli sourire ; STYLE VESTIMENTAIRE : simple quand il est hors de son uniforme ; PIERCINGS : aucun ; TATOUAGES : aucun ; CICATRICES : flanc, main droite, impact de balle épaule gauche, cuisse gauche ; MANIES : se mordiller la lèvre inférieure, fumer, chipoter avec sa main droite

Quelques lignes à ajouter en plus ?

NOT SO LONG AGO...
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random facts

— ses parents l'on nommé Ramsès-Merlin en pensant qu'il hériterait le courage et la bravoure de ces guerriers antiques (c'est raté)
— il est l'ainé de sa famille, il a trois soeurs — Sofia, Nefer et Lillian — et deux frères — Yasser et Idriss — plus jeunes que lui (logique)
— sa famille est pauvre, vit dans les bidons-villes d'Amenti, il leur envoie chaque mois la moitié de sa paie et vit dans un petit appartement de façon autonome. il aime bien revenir le week-end pour manger les bons petits plats de sa mère.
— il réussi à brûler l'eau des pâtes (pas doué)
— une fois quelqu'un a déclaré qu'il était sexy « avec cet uniforme et ces yeux de grenouille »
— il a essayé d'adopter un chaton abandonné dans une boite en carton mais le propriétaire (du carton) a refusé (le saligaud)
— il fume quand il est stressé
— il aide la grand-mère du troisième à monter ses courses
— il n'aime pas les asperges, sa grand mère (celle avec les origines gallois) l'obligeait à finir l'assiette, même si elle devait le ressortir le lendemain
— sa cicatrice sur la main droite vient d'un accident de jeunesse (un truc bien nul)
— il décore son appartement avec des fleurs
— il n'a pas de télévision et sa vieille radio est cassée, il a juste son vieux tourne-disque raccommodé.
— il est sorti avec un certain Francis pendant six mois (d'où ses quelques notions de français)(winkwink)

[le reste inrp]

PSEUDO : aby


ÂGE : vingt piges


AUTRES FORUMS ? lol (l’odyssée des laitues)


COMMENT ÊTES-VOUS ARRIVÉ ICI ? j’pense que c’est via un top-site ? je stalke le forum depuis hier soir ducoup j’ai oublié


UN P'TIT MOT À DIRE ? vous êtes trop beau (j'ai pas résisté aux prénoms de troll)(gomen)